JOSEP BOFILL

Portfolio Categories: Artists.

Josep Bofill Moliné is a Catalan artist born into a large family of well known painters.
In 1983, after graduating with honours at the Llotja de Artes school, he created a Sant Jordi allegory (Alegoría de San Jorge) for the Palacio de la Generalidad in Barcelona.
Since then, he has participed in several national and international exhibitions, both individually and as part of a collection such as at the Centre d’Art Contemporain de la Casa da Cerca in lmada, Portugal and the Kwai Fung Hin art gallery in Hong Kong. Josep Bofill has also exhibited many times at COFA – Claire Oliver Fine Art in New York.
He has received many honorary awards and he has received numerous prestigious public commissions that can be admired in many countries.

Josep Bofill is interested in the prism of emotions emanating from materials such as iron, resin and cement. Crafted from the inside using theatrical mediums such as glass and light, the density, almost mineral, displays an impromptu finesse, activating a strange animation of the material.
By generating these three-dimensional sculptures, and creating a range of conflicting emotions, Josep aligns the essence with that of humans.
The pure aesthetics of Josep’s work lead the viewer to reflect deeply and to consider the materials used, and their symbolic efficiency.

CharlElie Couture


CharlElie Couture, né Bertrand Couture en 1956, est un artiste français originaire de Nancy, aussi connu pour sa musique que pour sa peinture.

Attiré par les arts très jeune, il étudie aux Beaux-Arts de sa ville natale dans les années 1970, ce qui lui permet d’acquérir un sens profond de la composition et de construire une œuvre authentique et singulière, infiniment contemporaine.

Depuis plus de 30 ans, CharlElie poursuit une démarche vers ce qu’il définit comme « l’art total », c’est-à-dire une attitude globale consistant à trouver des interconnexions entre les formes d’expression de l’Homme – l’Écriture, l’Image et la Musique. Il s’inscrit dans le courant « multiste » des artistes pluridisciplinaires dont il est une des références notoires.

Partageant sa vie tant entre son atelier-galerie New-yorkaise et Paris, qu’entre son activité de musicien-chanteur et d’artiste plasticien, ses œuvres (peintures ou photographies) s’inspirent du décor de New-York, cette ville géante

VINCENT GONTIER


Né en 1962, à Fourmies dans le Nord, diplômé des écoles des Beaux Arts de Cherbourg et Rouen en 1987, je m’installe à Grenoble cette même année.

De 1991 à 1997 je suis représenté par la Galerie Antoine De Galbert avec laquelle je participe à divers salons expositions collectives et personnelles.

Depuis 1990, j’expose en France et à l’étranger notamment, au Etats-Unis, lors d’un workshop dirigé par Anthony Caro, en Grande-Bretagne, en Pologne, en Finlande au Musée de Kuopio, en Suisse, Belgique , Nouvelle Zélande, Quebec.

« Pour combattre l’affolante prolifération du quotidien, Vincent Gontier a recours, d’une part, au métal, à son usinage, à sa mise en forme et à son ajustement; d’autre part au pliage, effectuant les gestes répétitifs et envoûtants du plieur de papier, véritable travailleur à la chaîne, tordant, caressant et écrasant sans fin les feuilles rectangulaires. Il allie la minutie d’un « origamiste » à la puissance d’un forgeron. … »
« … Dans chaque sculpture de Vincent Gontier, qu’elle soit massive ou toute petite, il existe un « point d’équilibre » . Ce point (ou cet axe invisible) réalise une « coïncidence des opposés. »
P. Péju.

« Mais reprenons la métaphore de la presse. Pour ainsi dire, « pressé » et oppressé sont synonymes. Or, le contraire de l’oppression, c’est la libération ; et le contraire de la pression, le relâchement. Dans ses récents « dessins brûlés sur le papier », l’artiste n’emprisonne plus la feuille de journal dans l’acier : elle est désormais tenue en suspension dans l’espace, entre deux plaques de verre. Il s’agit de pages de journal dont GONTIER brûle les zones encrées avec une loupe, obtenant ainsi une feuille où les trous remplacent texte et illustrations. Toujours par brûlage, il transfère les motifs de ces feuilles évidées devenues ainsi matrices, sur des feuilles vierges placées dessous. De cette matrice, il obtient ainsi une épreuve, sur
laquelle textes et images réapparaissent partiellement, mais par consumation, par destruction donc. Dans les Compactus, le contenu du journal est intact, mais caché sous le métal ; dans les dessins brûlés, le
contenu est dévoilé, mais dans un état de détérioration tel, qu’il est impossible d’en prendre pleinement connaissance. »
Jean Louis Roux.

FRANÇOIS WEIL


Evoluer dans un monde mégalithique ?

Il y a des années que François Weil a découvert la pierre : « J’en suis venu à la pierre parce qu’il fallait que je me confronte à quelque chose qui a du répondant. En fait, si on va contre la pierre on se fait mal et il ne se passe rien, par contre si on arrive à trouver le sens, on fait des choses extraordinaires, mais il faut savoir gérer l’accident, l’imprévu ».

L’artiste est dans une recherche constante du mouvement, de l’équilibre. Chaque réalisation peut être mise en mouvement par une simple impulsion humaine, sachant que l’on ne reproduira jamais le même. « L’idée de faire bouger la pierre ça a toujours fait rêver, en même temps l’humain est dans l’absurdité, il a toujours voulu faire bouger les pierres et plus c’était gros, plus il était content, c’est l’histoire de l’humanité de faire des trucs qui paraissent absurdes et j’ai repris ça à mon compte ».

Contrairement à beaucoup d’artistes, quand je sculpte la pierre, je ne pense plus, je me concentre sur les problèmes matériels, la technique pour faire exister ce qui me passe dans ma tête ».

Ses œuvres ne sont pas baptisées : « C’est très figuratif, il n’y a pas de titre ou très rarement, c’est l’imaginaire des gens qui fait le reste. Le fait de donner un nom donne souvent une orientation qui n’est pas forcément plus intéressante que ça… La base même de mon travail est toujours liée au mouvement et ce qui m’intéresse, c’est que les gens s’approprient la pièce ».

Dans la lignée de son travail avec la matière, François Weil pratique également la photographie et la gravure. Sa fascination pour l’animation le conduit aussi à la vidéo. «Le réel n’est pas figé, explique l’artiste .

BOUNOURE & GENEVAUX


Bounoure & Genevaux use the fold as a unique plastic language: for them the fold is like «a pen for writing in space». They use cut and folded forms to create a floating sense of spatiality. They have entitled this form of plastic expression «Shaped pattern». Their three-dimensional work tends to abolish the boundaries between painting and sculpture, image and object. The folds formed in the sheet metal are revealed by the light. Their mirrors, folded, are less objects than devices re-creating images, decomposing the real. By the new framing that the work proposes, the spectator is invited to pay attention to the present.

OLIVIER DIAZ DE ZARATE


Olivier Diaz de Zarate, born in 1965 in Reims.
Lives and works in the hamlet of Vialanove* in the south of France.

After studying very young at the Blot school and at the same time at the Beaux-Arts de Reims as a free candidate, he went to the Van Der Kelen school in Brussels to perfect his aesthetic education and then finished his course at the Beaux-Arts in Paris. in different workshops such as Cueco or Cremonini.

Very young, he awoke to charcoal and oil paint.
Very attached to the history of art and in particular to the allegorical representations and chiaroscuros of classical painting, painting will become a devouring and obsessive passion. He won several painting competitions.

A main aim articulates his work around the compulsive study of light and what it can reveal about intimacy and time. Summoning the very essence of photography-painting without attaching himself to painting too much reality, he paints the object-light by bringing an underlying narration giving the sense for any artist to bear witness to his time.

His work then focuses on questions related to language and its representation.

M.CHAT

Portfolio Categories: Artists.

Peintre franco-suisse, Thoma Vuille (a.k.a. M. CHAT) est né à Boudry, dans le canton de Neuchâtel, en 1977. Ses premières créations de street art, à l’acrylique, surviennent alors qu’il n’a que 15 ans, en mémoire de son grand-père, peintre en bâtiment.
Cette idée de « mémoire » du mur, en tant que matière, va d’ailleurs rester solidement chevillée à son travail. Élève de l’Institut d’arts visuels d’Orléans entre 1995 et 2001, c’est dans les rues de cette ville qu’il va créer son personnage emblématique : M. CHAT, souriant au détour des murs et sur les toits, figure bienveillante et joyeuse. Le sourire de M. CHAT, qui n’est pas sans rappeler celui du « grinning cat » de Lewis Carroll, énigmatique et fascinant félin.

On retrouve désormais le sourire contagieux de M. CHAT sur l’ensemble du globe, des rues de Rennes, Nantes ou Paris à celle d’Allemagne, d’Angleterre, d’Italie, de New York, Hong Kong, Séoul ou encore Dakar. Reconnu comme une figure majeure de la scène Street Art européenne, Thoma Vuille (a.k.a. M. CHAT) s’assimile aujourd’hui tant au monde de l’art urbain qu’à des mouvements moins « marginalisés », à l’instar du pop art.

EXPOSITION DU 08 JUILLET AU 08 OCTOBRE 2021

M.CHAT ET SES MAITRES
Après une année à slalomer entre les gouttes, M.CHAT s’envole vers le sud pour célébrer le soleil et l’été sur les bords du Canal du Midi.
Le Lieu d’Art La Mouche de Béziers accueille pour tout l’été cet artiste haut en couleurs et ses toiles pleines de lumière.
Après avoir attiré les plus grands peintres modernes, de Matisse à Picasso, en passant par Van Gogh et Cézanne, notre région s’adjoint les pinceaux de M.CHAT, se fondant dans la volonté de captation de la lumière, de sens du mouvement, d’élan de vie qui ont toujours animé la communauté artistique occitane.
L’exposition de M.CHAT entend incarner un savant mélange entre les « classiques » de la peinture moderne et l’univers joyeux de M.CHAT qui, par son génie créatif, nous prouve une fois encore sa capacité à transcender l’espace et le temps pour nous transmettre des œuvres d’un optimisme délicieusement contagieux.

FABIEN VERSCHAERE

Portfolio Categories: Artists.

Born in 1975 in Vincennes, Fabien Verschaere is a visual artist who lives and works today in Paris. In 2000, he graduated from the École nationale supérieure des Beaux-Arts in Paris, and the Beaux-Arts in Nantes the following year.
His unusual, vibrant universe sets him apart in the world of contemporary art creation and his works have been exhibited in prestigious institutions such as the Palais de Tokyo in 2006. Criss-crossing the globe, his works are exported to Milan, Bucharest, Hong-Kong, Newcastle, New York, Hanoi, Abu Dhabi and Seoul.

Exhibition 2 July – 2 November 2020 (Vernissage 2 July 2020)

The memory of the dream
“Between two awakenings, the night leads to stories that no longer exist. My drawing is a metaphor for passing time as a mythology that flourishes towards the horizon where ghosts dance.
A dream is the memory of a territory we are building.
The body is a house where Alice can grow.
My painting is music,
Drawing, writing.
The whole thing is a dance that calls out to those we miss.
The sacred is the essential.
My memory is immortal, my spirit resides in the canvas.
I’m no longer afraid of the spider.
She is a cosmic queen attracted by the celestial light.”

Fabien Verschaere

NICOLAS SANHES

Portfolio Categories: Artists.

Nicolas Sanhes was born in 1965 in Rodez, Aveyron and he grew up with his two brothers on the family farm. In 1984 he entered the School of Fine Arts in Perpignan and discovered his first museum, the Musée de Céret.

During his studies, he was quickly attracted by the radical works of artists like Elsworth Kelly and Ad Reinhardt, who pushed the internal contradictions of art to their limits.
Ten years of research down the line led Sanhes to a new geometric described by the art critic Jean-Louis Poitevin as “incidental geometry”.

After many years working with flange and cross-sectional steel beams, CARREH is the results of Nicolas Sanhes years of grappling with the material.

By closing the H-profile, the artist radically changes the relationship of the substance. By creating the CARREH by sealing the cross beam with flat iron, Sanhes makes it possible to create a maximum number of other reinforced connections. It is his specific technique, a physical solution, CARREH represents the holy grail of his quest.

DOMINIQUE RENSON

Portfolio Categories: Artists.

Dominique Renson is a French artist. She lives and works mainly in Paris, but also in New York, Detroit and the island of Lipsi. In 2002 Jean Jacques Aillagon named her Chevalier des Arts et des Lettres.

It was during a trip to Australia in 1989 that Dominique Renson decided to become a painter. In the city of Broom, she often went for drinks to the Animal’s Bar where mostly Aborigines would hang out. She started sketching and photographing her new friends and ended up creating large format paintings. More than just portraits, their faces are a pretext to address her obsession with death, sexuality and marginalization.

Ceremonie mainly presents portraits of the artist’s friends. Most of them are presented on a black background, in a significant way. The use of black or a solid colour as a backdrop, as Le Fifre de Manet teaches, removes any context and forces the eye to look more closely at the figure, which appears to be suspended in the air.